Il neige sur la neige. Au loin, les loups s'enfuient, sous un vent de Norvège. Dans la steppe endormie, en traînant sur la neige, avance dans la nuit, une femme dans ce cortège, murmure une mélodie SERGUEII.
Elle rejoint son amour, un officier du Tsar, qui l'attendra trois jours, sur le quai d'une gare. Au loin le petit jour, comme un feu dans la nuit éclaire SAINT-PETERSBOURG, où l'attend son ami SERGUEII.
Ils prendront tous les deux le dernier train, qui partira vers Varsovie, Ils verront dans les forêts de sapins, s'enfuir les loups de Sibérie.
Ils prendront tous les deux le dernier train, qui partira vers Varsovie, Ils verront dans les forêts de sapins, s'enfuir les loups de Sibérie.
Il neige sur la neige, ses forces l'on trahie, et le froid comme un piège peu à peu l'engourdie, les loups font un manège et la nuit l'engloutie, Une valse polonaises fredonne à l'infinie SERGUEII.
Ils prendront tous les deux le dernier train, qui partira vers Varsovie, Ils verront dans les forêts de sapins, s'enfuir les loups de Sibérie.
Ils prendront tous les deux le dernier train, qui partira vers Varsovie, Ils verront dans les forêts de sapins, s'enfuir les loups de Sibérie.
SERGUEII est parti dans le dernier train, qui l'amène vers Varsovie, Il voit dans la neige du petit matin, s'enfuir les loups de Sibérie.
SERGUEII est parti dans le dernier train, qui l'amène vers Varsovie, Il voit dans la neige du petit matin, s'enfuir les loups de Sibérie.
Il voit dans la neige du petit matin, l'ombre d'une femme endormie.
(Merci à Linda Lawrence pour cettes paroles)