Ange-madame, aux yeux fauvephorescents vers toi,
Statue de marbre électrisée de soie
Tu danses, ha-ha, la décadanse des angebigües
ha-ha, la décadanse des angebigües
ha-ha, la décadanse des anges
Ange-garçon, ton œil-loup noir de khôl
Sur ton front d'enfant, tes mèches collent
Tu danses, ha-ha, la décadanse des angebigües
ha-ha, la décadanse des angebigües
ha-ha, la décadanse des anges
J'ai le désir d'avoir du goût,
Tu te sens si trouble, si fou
J'ai bien envie d'être dure
Tu ne penses qu'à être pur
Tu danses...
Je n'aime plus ni un homme, ni une femme, ni rien
Je ne peux plus qu'aimer quelqu'un
Tu danses, ha-ha, ton torse nu sous les projecteurs,
ha-ha, ta peau pâle lustrée de sueur,
ha-ha, ton beau buste d'enfant de chœur
Ange-garçon, ton œil-loup noir de khôl
Sur ton front d'enfant, tes mèches collent
Tu danses, ha-ha, la décadanse des angebigües
ha-ha, la décadanse des angebigües
ha-ha, la décadanse des anges
J'ai le désir d'avoir du goût,
Tu te sens si trouble, si fou
J'ai bien envie d'être dure
Tu ne penses qu'à être pur
Tu danses, ha-ha, la décadanse des angebigües
ha-ha, la décadanse des angebigües