Sur les hauts de Hurlevent, je suis venu souvent,
me promener parmi les pierres, et m'allonger dans la bruyère,
pour penser à toi... penser à toi.
Mais si le vent te fais peur, tu n'as plus rien à craindre,
je t'appendrais à l'aimer si tu viens me rejoindre.
Et nous ferons des hauts de Hurlevent,
un paradis d'amour où chantera le vent.
Nous graverons nos deux cœurs sur les vieux murs de pierres,
nous ouvrirons les fenêtres envahies par le lierre.
Et nous ferons des hauts de Hurlevent,
un paradis d'amour, qui défiera le temps.
Hurlevent n'attend que toi, et moi je reste là,
les yeux perdus vers l'horizon, je garde encore mes illusions,
tu viendras demain... tu viendras demain.
Mais si le vent te fais peur, tu n'as plus rien à craindre,
je t'appendrais à l'aimer si tu viens me rejoindre.
Et nous ferons des hauts de Hurlevent,
un paradis d'amour où chantera le vent.
Nous graverons nos deux cœurs sur les vieux murs de pierres,
nous ouvrirons les fenêtres envahies par le lierre.
Et nous ferons des hauts de Hurlevent,
un paradis d'amour, qui défiera le temps.
Nous ferons des hauts de Hurlevent,
un paradis d'amour où chantera le vent...
Nous graverons nos deux cœurs sur les vieux murs de pierres,
nous ouvrirons les fenêtres envahies par le lierre.
Et nous ferons des hauts de Hurlevent,
un paradis d'amour, qui défiera le temps.