Tu dors, happé par des rêves
Où elles t'offrent sans remords
Le sucre, la sève
Mais sans ce coeur...qui bat
Se bat...contre toi
Tu dors, et nulle conscience
Ne saura t'éveiller
Pas son mal en silence
Qui tâche l'oreiller...tu l'as
Déjà...presque oubliée
A celle, qui a perdu l'estime
Pour elle même qu'on abîme
Parce qu'elle est la femme d'une vie
A celle, dont la fierté rend l'âme
Pour un fantasme d'homme
Qui lui a dit "je t'aime", avant.
A elle, dont le visage inspire
La pitié ou le rire...
Qui nourrit les bavards...souvent
Tu lis, les lueurs inquiètes
Qui troublent ses regards
Ces silences qu'elle te jette
En cris de désespoir...tu pars
Sans voir...l'amour épars.
A celle, qui a perdu l'estime
Pour elle même qu'on abîme
Parce qu'elle est la femme d'une vie
A celle, dont la fierté rend l'âme
Pour un fantasme d'homme
Qui lui a dit "je t'aime", avant.
A elle, à l'instinctive mère
Qui pour ses enfants chers
A choisi de se taire...un temps !
Oh... à celle, qui se fuit du regard
Pour elle il est trop tarde
Puisqu'elle était la femme d'une vie
A celle qui s'oublie sous le fard
Pour un fantasme rare
Qu'il lui dise "je t'aime" à temps
A elle...oh oh à elle
Ooh...