Paroles de la chanson Les passerelles par Florent Pagny
Il y a dans des pavillons et des bâtiments, cette envie d'union et de continents
Des rêves de robes blanches, de tunnels sous la manche
Il y a dans les trains qui passent, un rêve, un élan, ce besoin d'espace et de ralliement
De monde qui se branche, de tunnels sous la manche
Si tous les Hommes sont comme des iles, une main tendue est une passerelle
Un trait d'union entre des rives, un pont tendu entre deux rêves
Si on a tous le même désir, on pourrait construire quelques passerelles
Dans un regard, dans un sourire, un pont tendu entre deux rêves
Il y a dans tous les avions, dans une main d'enfant ce besoin d'union, d'aller vers les gens
Cette envie d'échange de tunnels sous la manche
Il y a là dans ma chanson, comme un battement, un rêve d'unisson, un rêve naïvement
Un désir qui démange de tunnels sous la manche
Si tous les Hommes sont comme des iles, une main tendue est une passerelle
Un trait d'union entre des rives, un pont tendu entre deux rêves
Si on a tous le même désir, on pourrait construire quelques passerelles
Dans un regard, dans un sourire, un pont tendu entre deux rêves
Il y a dans des pavillons et des bâtiments, cette envie d'union et de continents
Des rêves de robes blanches, de tunnels sous la manche
Il y a dans les trains qui passent, un rêve, un néant, ce besoin d'espace et de ralliement
De monde qui se branche, de tunnels sous la manche
Si tous les Hommes sont comme des iles, une main tendue est une passerelle
Un trait d'union entre des rives, un pont tendu entre deux rêves
Si on a tous le même désir, on pourrait construire quelques passerelles
Dans un regard, dans un sourire, un pont tendu entre deux rêves
Il y a dans tous les avions, dans une main d'enfant ce besoin d'union, d'aller vers les gens
Cette envie d'échange de tunnels sous la manche
Il y a là dans ma chanson, comme un battement, un rêve d'unisson, un rêve naïvement
Un désir qui démange de tunnels sous la manche
Si tous les Hommes sont comme des iles, une main tendue est une passerelle
Un trait d'union entre des rives, un pont tendu entre deux rêves
Si on a tous le même désir, on pourrait construire quelques passerelles
Dans un regard, dans un sourire, un pont tendu entre deux rêves
Il y a dans des pavillons et des bâtiments, cette envie d'union et de continents
Des rêves de robes blanches, de tunnels sous la manche
Il y a dans les trains qui passent, un rêve, un néant, ce besoin d'espace et de ralliement
De monde qui se branche, de tunnels sous la manche
Si tous les Hommes sont comme des iles, une main tendue est une passerelle
Un trait d'union entre des rives, un pont tendu entre deux rêves
Si on a tous le même désir, on pourrait construire quelques passerelles
Dans un regard, dans un sourire, un pont tendu entre deux rêves
Il y a dans tous les avions, dans une main d'enfant ce besoin d'union, d'aller vers les gens
Cette envie d'échange de tunnels sous la manche
Il y a là dans ma chanson, comme un battement, un rêve d'unisson, un rêve naïvement
Un désir qui démange de tunnels sous la manche
Si tous les Hommes sont comme des iles, une main tendue est une passerelle
Un trait d'union entre des rives, un pont tendu entre deux rêves
Si on a tous le même désir, on pourrait construire quelques passerelles
Dans un regard, dans un sourire, un pont tendu entre deux rêves
Si tous les Hommes sont comme des iles, une main tendue est une passerelle
Un trait d'union entre des rives, un pont tendu entre deux rêves
Si on a tous le même désir, on pourrait construire quelques passerelles
Dans un regard, dans un sourire, un pont tendu entre deux rêves