Ne plus se souvenir de tous ces visages
Ne plus se souvenir de toutes ces contrées.
Oublier pour être un peu plus libre et partir,
Oublier pour tout laisser derrière moi.
Me passer de ces visages agréables,
Délaisser aussi la souffrance et les doutes,
Me libérer de ce lourd fardeau encombrant,
Partir loin de cette moiteur qui m'accable.
Je souhaite de la fraîcheur, de l'inattendue,
Le souffle et les vents de la renaissance.
J'ouvrirai bientôt la grande et lourde porte,
Laisser la chambre de ma vie passée.
Mais une flamme s'allume, loin dans les profondeurs.
Elle se tend et elle brûle mon esprit qui se brouille.
Mais une flamme s'allume, loin dans les profondeurs.
Elle se tend et elle brûle mon esprit qui se brouille.
Car le visage grimaçant et ce rictus permanent,
S'imposent alors à mon esprit.
Son pouvoir s'accroît lentement, devant ma vie se brisant,
Me contraignant à son égérie ?
Je souhaite de la fraîcheur, de l'inattendue,
Le souffle et les vents de la renaissance.
J'ouvrirais bientôt la grande et lourde porte,
Laisser la chambre de ma vie passée.
Mais une flamme s'allume, loin dans les profondeurs.
Elle se tord et elle brûle mon esprit qui se brouille.
Mais une flamme s'allume, loin dans les profondeurs.
Elle se tord et elle brûle mon esprit qui se brouille.
Car le visage grimaçant et ce rictus permanent,
S'imposent alors à mon esprit.
Son pouvoir s'accroît lentement, devant ma vie se brisant,
Me contraignant à son égérie ?
Mes muscles se tordent, ainsi que mon âme,
Ma voix s'essouffle et devient cassée.
Pourquoi ma subjectivité m'imposerait,
Des choses que je refuse !!!
Elle n'est là que pour me servir.
Je rie, je chante et je hurle
Car je suis devenu le visage grimaçant.