Les filles sont des garçons bizarres
Qui se couchent dans le noir
Qui parlent à leur miroir
Qui évitent le frisson
En fixant le plafond
T'étais comme un drôle d'élastique
Qui glisse et puis résiste
Reprends là d'où il vient
Comme s'il ne savait rien
Comme s'il n'en savait rien
Les filles sont des garçons bizarres
Des garçons bizarres des garçons bizarres
Les filles sont des garçons bizarres
Des garçons bizarres
T'es vraiment bizarre
Parfois sous tes yeux fatigués
Repassent tes mirages
Et tes paupières fermées
Promettent davantage
Que l'envie d'être sage
Tu vis ta petite bulle de chagrin
Comme une histoire sans fin
Une ombre de la nuit
Qu'on invite dans son lit
Qu'on invite dans son lit
Le soir tout contre la bougie
tes doigts créent la magie
Et chaque nuit qui vient
A l'abri de tes mains
Nous sauve de demain
Pour toi plus rien n'a d'importance
Que le bonheur immense
De te faire oublier
Dans un souffle léger
Dans un souffle léger