Couplet 1 :
Certains m’aiment, d’autres me détestent
Mais au fond, combien me connaisse, réellement
Combien m’aime vraiment.
Combien seront présents à mon enterrement ?
A ma mort combien se réjouiront sincèrement.
Je me demande combien vont pleurer mon absence
Regretter jusqu’à en perdre leur propre présence.
Combien cacheront mes défauts, mes secrets
Combien m’auront m’aimer en secret ?
Combien viendront visiter ma famille ?
Quand elle sera ébranlée, amputée et fragile.
Combien porteront conseil à ma ptite sœur ?
Avec sincérité, vertu et douceur.
Combien lui rappelleront à quel point je l’aimais ?
Combien écriront à quel point j’ai peiné, saigné
Tant ce monde me blesse,
J’ai sué comme un étranger, j’attends qu’la vie me laisse.
J’ai sûrement quitté ce monde comme je suis venu, seul.
Je vais certainement mourir comme j’ai vécu, seul.
Mes paroles sont dures comme ma vie
Sans amour vide, comme un corps sans vie.
Refrain :
Combien m’aime réellement malgré ce que je suis ?
Combien me regretteront quand je quitterais cette vie ?
Combien m’ont entendu mais ne m’ont pas compris ?
Combien de temps avant qu’on m’oublie ?
Couplet 2 :
Combien sont rentrés dans ma vie, radieuse comme le soleil
Illuminant mes jours, la nuit troublant mes sommeils.
Alors j’ai espéré pour pouvoir changer
Aimer sans retenue, sans me sentir en danger.
Pourquoi n’est-ce qu’un mirage ?
Un vent de bonheur précédent l’ouragan de rage
C’est fou comment on peut se tromper
C’est fou comment on peut se tromper
Une même phrase pour deux sens différents
Que chacun peut interpréter selon son expérience.
L’amour, une plante que je n’arrive plus à semer.
Jme suis perdu au jardin des désabusés.
Combien m’ont côtoyé mais ne m’ont pas connu ?
Pour combien d’entre elle resterais-je un inconnu ?
Combien m’ont écouté mais ne m’ont pas compris ?
Combien m’ont donné de l’espoir mais me l’on repris
Combien de cœurs j’ai brisé
Combien j’en ai déçu
Combien de cœur j’ai gagné
Presque autant que j’en ai perdu
Le monde m’a volé ma confiance
Oter du berceau de l’insouciance
Refrain (*2)
Jdédie ce morceau à tous ceux qui peu à peu perde confiance en la confiance
Retrouvez-moi au jardin des désabusé.
Y a quand même des gens qui nous aiment réellement, vraiment.
Jdédie ce morceau à ma ptite sœur, Casandra, à mon ptit frère, Kévin, et à ma mère.
Quand j’serais K.O. comme Alain Souchon.
Descendu des plateaux trop Hauts
Et qu’il ne restera que mes chansons.
Combien, combien seront encore à mes côtés ?
Combien m’aiment vraiment ?