Oh marlne
les cÏurs saignent
et s'accrochent en haut
de tes bas
oh marlne
dans tes veines
coule l'amour
des soldats
et quand ils meurent ou s'endorment
c'est la chaleur de voix
qui les apaise, et les traine
jusqu'en dehors des combats
oh marlne, c'est la haine
qui nous a amené l¹
mais marlne, dans tes veines
coulait l'amour des soldats
eux quand ils meurent
ou s'endorment
c'est dans le creux de tes bras
qu'ils s'abandonnent
et qu'ils brìlent
comme un clope
entre tes doigts