Des jours sous l’écume,
à froisser le bitume,
à chercher le phare,
Ou des choses à faire.
Même s’il est déjà tard
Pour sortir de l’enfer.
Les fenêtre closes
De ceux qui prennent des doses.
Des rafales d’ecchymoses,
La vie s’ankylose,
Paralyse l’horizon,
Et t’enlève la raison.
Y’a plus rien d’rose,
Juste un tas d’choses qui causent la merde,
Faut que t’oses plus mettre sur pause.
Mais cette nuit tu te sens plus grand,
Bien sûr d’avoir choisi ton camp.
{Refrain}
Sur des charbons ardents,
Des corps dissidents,
Enfreignant la loi,
Déteignent sur toi.
Et tu sens l’adrénaline
Sur des charbons ardents,
Des corps turbulents,
Levant la voix,
Déteignent sur toi.
Et tu sens monter l’adrénaline
Le chant des sirènes t’enivre t’appelle.
On prêche à ta place pour la tour de Babel.
Allez goinfre toi,
Vas y mange sur le dos des autres.
Fais des exploits,
Toujours dans la faute.
Mais sache qu’un jour de choc
bien pâle on paye tout.
Le lâche rembourse ses dettes
Jusqu’au dernier sou.
Pense à deux fois avant d’sauter,
Y’aura personne là haut pour te rattraper.
Mais cette nuit tu te sens plus grand,
Bien sûr d’avoir choisi ton camp.
{Refrain}
Au milieu des tiens,
Ta confiance s’accroit,
Plus vivant tu deviens,
Tu trouves ton sang-froid.
{Refrain}
Ils déteignent sur toi (4X)