Je me vois marcher la faim au ventreDans la rue qui sent déjà l'hiverParmi tous ces inconnus qui rentrentRetrouver la femme et le couvertL'oiseau de nuitL'oiseau de pluieJe ne l'oublieJe me vois attendre sur les marchesLe matin qui me réchaufferaGuetter l'uniforme ou la démarcheDe ceux qui n'observent que la loiL'oiseau de nuitL'oiseau de pluieJe ne l'oublieEt je vois aussi couler tes larmesToi qui vins danser avec le jourMais il valait mieux rompre le charmeQue de laisser croire à notre amourL'oiseau de nuitL'oiseau de pluieJe ne l'oublieL'oiseau de nuitL'oiseau de pluieJe ne l'oublie pas