Dès les premières lueurs
Oh, je sombre
Il me paraît bien loin l'été
Je ne l'ai pas oublié
Mais j'ai perdu la raison
Et le temps peut bien s'arrêter
Peut bien me confisquer
Toute notion de saison
Dès les premières lueurs d'octobre
En tout bien tout honneur
Oh, je sombre
Je sens comme une odeur de lis
Mes muscles se retissent
Et j'attends la floraison
Mais qu'a-t-il pu bien arriver
Entre septembre et mai
J'en ai oublié mon nom
Dès les premières lueurs d'octobre
En tout bien tout honneur
Oh, je sombre
Oh, le temps a tourné, je compte les pousses
Des autres fleurs de saison
Je ne sortirai pas encore de la mousse
Pas plus qu'une autre fleur de saison
Pas plus qu'une autre fleur de saison
Ooh, ooh, ooh
Il me paraît bien loin l'été
Mes feuilles desséchées
Ne font plus la connexion
Mais qu'a-t-il pu bien arriver
Entre septembre et mai
Je n'fais plus la distinction
Dès les premières lueurs d'octobre
En tout bien tout honneur
Oh, je sombre
Oh, le temps a tourné, je compte les pousses
Des autres fleurs de saison
Je ne sortirai pas encore de la mousse
Pas plus qu'une autre fleur de saison
Pas plus qu'une autre fleur de saison
Ooh, ooh, ooh
Pas plus qu'une autre fleur de saison
Ooh, ooh, ooh
Dès les premières lueurs
Oh, je sombre