De Frente (El Diablo 2) Song Lyrics
De Frente (El Diablo 2) by Starfield De frente (el diablo 2) / Starflam
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KAER:
No somos gente violenta, defendamos lo nuestro
lo poco que nos queda que nos ha dejado el tiburón
que quiere comerme como camarón
pero ten cuidado, vengo pa’qua pa’ quitarte lo camaleón
mi ritmo tiene sason, oyeme esta nueva combinación
El K. y el niche malo Balo
Haciendole frente de nuevo al Diablo.
REFRAIN:
El diablo, mira me de frente.
El diablo, yo vengo solo para verte.
BALO:
On n’est pas des gens violents mon frère seulement sur la défensive
impulsifs car trop refoulés ou floués par le temps qui passe
on traîne, pille pour faire face
mais au final on stagne ici à force de rester sur le qui-vive
reconnais-le, on n’est pas libres seulement en permission
sur la route de la perdition, dur de vivre avec un préavis
au crochet de la machine, qui courbe l’échine?
assisté OK! mais pas asservi
ils nous prédestinent, mais sommes-nous déterminés
ou la détermination n’est plus un facteur déterminant ?
prédominant, déclin imminent, proéminent
où nous sommes tous conviés
si le bonheur c’est d’être envié
si le confort a son barème, si l’apparence est la cause de ce dilemme
qui dit que seul le sens de la vue prime et face à ce déclin unanime....
REFRAIN:
El diablo, mira me de frente.
El diablo, yo vengo solo para verte.
KAER:
Hey primo, nadie nos para bolas
no hay ayudas, nos hunden con deudas
nos dejan en la olla, carcomidos por la rolla
a punto de tirar la toalla
pero pa’ lante voy como Cuco Valoy
rap con el coco siempre te doy
soy el que te trae esta canción
dos puntos de vista, una sola reflexión
africa y america del sur siguen presos
esclavos de europa, japon y los estachos cuchos
degenerados dirigiendo al mundo
sacándole el jugo al tercer mundo
Interés, egoísmo, hipocresía
los grandes narcos son de la C.I.A.
haciendo la ley sin fe ni caché
matando al Che, soltando a Pinochet
REFRAIN:
El diablo, mira me de frente.
El diablo, yo vengo solo para verte.
BALO:
Toujours le même cancer qui ronge sous le tropique des capricornes
les miens se bornent, noient leur esprit dans la spiritueuse
et dans cette nébuleuse la bêtise reste contagieuse
tant qu’ils croient en Dieu avant de croire en eux
qu’ils prient ce Jésus blond qui laisse l’Afrique en banqueroute
c’est pourquoi le rêve de mon père et mon cauchemar d’Afropéen
qui sert les fesses plus que les poings el diablo n’est pas loin
et chasse mes illusions sur ce pays de cocagne
où l’on slalome entre évasions et bagne
entre la loi de la jungle et celle des hommes, mais je lutte avec la hargne,
dépeins cette nature morte glandeur nature, ce tableau
où l’on cherche tous l’Eldorado...El diablo
DIABLO…I MIRA QUE TE TUMBO !