Je pense a toi souvent
Avec mes yeux d’enfant
La force de ton regard quand tu veillais sur moi
Et toujours la pour guider mes pas
Je pense a toi toujours
Quand j’ai besoin d’amour
Les racines ont peri lorsque tu es parti
Et mon cœur se replie sur ton souvenir
Depuis je traverse les oceans
Pour semer ma douleur au vent
Delaisser ma colere au loin
Pour l’oublier avec mon chagrin
A qui s’en prendre mystere
A qui pardonner l’enfer
De retrouver la solitude
D’une petite enfant nue perdue au coin d’une rue
Depuis je traverse les oceans
Pour semer ma douleur au vent
Delaisser ma colere au loin
Pour l’oublier avec mon chagrin
Je pense a toi souvent
A ton regard maman
Depuis je traverse les oceans
Pour semer ma douleur au vent
Delaisser ma colere au loin
Pour l’oublier avec mon chagrin
Et puis je traverse les oceans
Pour semer ma douleur au vent
Delaisser ma colere au loin
Il n’en est rien, il n’en est rien
Il n’en est rien, il n’en est rien
Il n’en est rien, vraiment il n’en est rien