De terribles vents, sans passé sans éternité
battent contre les murailles du changement
mon ordre, par respect marqué par le fer
déclare l'appel enfanté par la plainte
obstacles gisant, comme tombeau d'une foi déchu
enveloppés par l'esquisse brume, s'étendent sur mon chemin
leur poussière lentement sur nos terres se déposent
étouffant les racines, souillant les rayons du noble soleil
Nous qui avons élevés nos branches si haut
Nous qui avons touchés les nuages, purifiés par leurs pluie
Sous les rayons de la lune, immolons ces débris sans âmes
La nuit et le brouillard, l'ordre vient de s'éveiller.