lle, ma voie, ma destiné surplombe mon âme
par le feu, elle fut forgée, dans la souffrance elle fut élevée
glacée, elle brûle et envoûte ma chair, mon sang
ma lame agit par vocation, sa perfection domine l'infâme
notre sang répandu, mes frères, appelle la tempête
que l'éclair frappe et achève pour libérer notre grandiose marche.
la sombre mer de mon esprit sent la pureté de la flamme
elle brûle, écoutant les sons émanant du portail des morts
la folie comme apparat, je souhaite la création
pour restituer la gloire de l'être honorable servit par le sens
les vagues furieuses, comme abîmes de ma volonté
aspiré par ma propre sérénité, je sens notre victoire approcher.
le sacrifice et la grandeur de notre choix marqueront à jamais
notre sol de la vertu oubliée, purgeant mon esprit de ces blessures
ainsi dans l'envole de mon mépris, nous clamerons haut et fort
l'ode à la haine des temps jadis.