La chape de plomb
Couvrant le ciel vacillant
Laisse filtrer qu'un rayon
De lumière s’évanouissant
Tel l'espoir ténu
Qu'entretient mon cœur
D’atteindre cette crête au-dessus
De vos pleurs, joies et douleurs
Ô être au sommet du monde
Pour y déverser sans parcimonie
Toute la bile féconde
Accumulée qu'enfin je vomis