Venu au monde sans vraiment savoir ce que la vie allait te réserver
Bienvenue dans la ronde du progrès dérisoire de l’humanité
Nos sentiments ne vont que vers l’argent
La solitude est le mal d’un siècle aveuglé
La vie n’a pas de sens, tu marches ou tu meurs
La réalité n’est sûrement pas celle que tu espérais
Enfin délivré, abjurés tes maux, réécris l’histoire de tes années
Libéré dans tes idéaux, refuse et oublie les erreurs de passé
Si tu y crois la flamme sera là
Tant que le feu ne s’éteindra pas, ne s’éteindra pas
Désir immonde, l’abus de pouvoir pour celui qui ne veut que régner
Mais qui creuse sa tombe au sommet de la gloire, de la vanité
Evidemment, tu vis dans le présent
La solitude et le doute, la précarité
Dans ce désert immense, tu ressens la peur
La réalité n’est vraiment pas celle que tu convoitais