Parfois, je pense à toi et je voudrais mourir
Ma gaieté fou le camp viennent les idées noires
Je suis désemparée, j'ai hâte d'en finir
Et puis l'ennui revient ami de tous les soirs.
Parfois, j'aurais envie peut-être de pleurer
Je sens mon coeur gonflé d'amour et de chagrin
Je me prend à rêver d'ailleurs ensoleillés
Où nous pourrions partir tous deux main dans la main.
Je nous vois toi et moi et enfin heureux
Transporter par magie sur une île sans nom
De bois remplis de fleurs, d'oiseaux mystérieux
Nous serions fou de vivre, de rire et de chansons.
Nous aurions un palais immense et merveilleux
Où je vais chaques soirs lorsque la nuit descend
Où nous serions heureux puisque nous serions deux
Paradis où je rêve, je t'aime et je t'attend.