Que les mamans l'entendent
Cet écho
L'éclat de rire vient du landau
Ça dérange
Qu'on fuit cet impossible silence
J'ai peine à muser
Eh eh
Carrément
Faire les premiers cent pas sans tomber
Se taire assez, je m'y essaye
Anda les matadors se défoncent
Dans l'arène auréolée dès l'éveil
Mais c'est horriblement beau d'éluder l'accrochage
De la déjouer fortissimo o o o o
Cri d'amour sans détour mais tapage
S'aiguiser les dièses à jeter les carreaux
Métisser gris de guerre et bleu de rhapsodie
M'allumer les rivières de pleurs à grand débit
M'éclater la théière, épris de barbarie
Elle oscille aussi
Mais c'est à vous qui riez quand les accordés sonnent
Que je m'égosille de sacrés do
Chant de bar que les rameurs entonnent
Pour eux les portugaises s'abandonnent au fado
Métisser gris de guerre et bleu de rhapsodie
M'allumer les rivières de pleurs à grand débit
M'éclater la théière, épris de barbarie
Elle oscille aussi
Gémir mais sous peine
De banaliser
Mais s'époumoner quand même
Au point que la seule invitée même à bout reste à danser
Carrément
Déplacer la coda de côté
Que sourds soient tous ceux qui s'asseyent
Crier sans savoir qui l'aime en songe
Brailler qu'elle n'a pas sa pareille
Mais c'est horriblement beau d'éluder l'accrochage
De la déjouer fortissimo o o o o
Cri d'amour sans détour mais tapage
S'aiguiser les dièses à jeter les carreaux
Métisser gris de guerre et bleu de rhapsodie
M'allumer les rivières de pleurs à grand débit
M'éclater la théière, épris de barbarie
Elle oscille aussi
Métisser gris de guerre et bleu de rhapsodie
M'allumer les rivières de pleurs à grand débit
M'éclater la théière, épris de barbarie
Métisser gris de guerre et bleu de rhapsodie
M'allumer les rivières de pleurs à grand débit
M'éclater la théière, épris de barbarie