Alors je m'isole, bien loin des insignifiances
Devant ce lac dansant
Purifiant ma raison égarée, ma sapience
D'un pas qui est lassant
Se dessine des formes enivrantes
Aux allures florissantes d' un Lys
De douces robes blanches voluptueuses
Viennent napper ta glace fastueuse
Vos caresses blessent princesses féeriques
N'engorgez pas vos beautés de mélancolie
Vos caresses blessent princesses chimériques
Écoutez les vents qui nous chantent l'euphorie!
Et cette poussière de diamants odorante
Sur vos noirâtres chevelures séductrices
Se mêlent à vos larmes, attristant les lieux
Mais la nature est un élixir vertueux
Laissez la luxure de vos déhanchements
Et vos baisers sensuels qui rendent déments
Saisir l'âme perdue en proie à la colère
Dans les labyrinthes d'un songe éphémère
Vos corps humides dans ces duvets
Puis l'écho de vos chuchotements exaltés
Et l'enchantement de vos gestes excités
Passion d'un rêve effaçant les impuretés
Vos caresses blessent princesses féeriques
Les raisons trop égarées plongent dans l'oubli
Vos caresses blessent princesses chimériques
Écoutez les vents qui nous chantent l'euphorie!